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Bibliothèque
Bienvenue à la bibliothèque, c'est ici que vous pouvez lire des blagues, ou bien des histoires ! Si vous souhaitez en ajoutez, envoyez-moi un courrier sur ma boîte aux lettres en m'écrivant votre histoire ou votre blague.

Blagues


1. Toto va chez sa grand-mère et elle lui demande d'aller chercher de la confiture. Toto y va et rencontre son ami Mondoigt. Il va chercher la confiture et fait le tour de la ville de Moncuq, il retourne chez lui et sa grand-mère lui dit :
- Tu en as mis du temps!
- Oui mais j'ai fait le tour de Moncuq avec Mondoigt.

2. C'est Toto à l'école. Sa prof lui demande:
- Toto quel est la 5 ème lettre de l'alphabet?
- Euh ?

3. Toto qui rentre chez lui, annonce très joyeusement à sa mère:
- Maman, tu devineras jamais, mais je suis meilleur que la maîtresse.
- Ah oui! Pourquoi ?
- La maîtresse reste dans la même classe, et moi, je monte dans la suivante!

4. - J'ai battu un record.
- Ah bon, lequel ?
- J'ai reussi a faire en 15 jours un puzzle
sur lequel il y avait écrit "de 3 a 5 ans".

5. Une mère dit à son garçon :
- N'oublie pas que nous sommes sur terre pour travailler.
- Bon, alors moi, plus tard je serai marin !

6. La maîtresse de toto dit :
- Pour demain vous m'apprendrez la poésie.
Toto rentre chez lui et entend sa mère qui dit :
- J'épluche les patates.
Il va dans la chambre de sa petite sœur et entend :
- Au pays des barbies !
Il va dans la chambre de son petite frère et entend :
- Superman, le héros.
Enfin, il va voir son père et entend :
- Elle a des gros nichons !!
Le lendemain, la maîtresse dit à toto, va au tableau pour me réciter ta poésie.
Toto dit :
- J'épluche les patates !
La Maîtresse :
- Tu te crois où ?
Toto :
- Au pays des barbies !
La Maîtresse :
- Tu te prend pour qui ?
Toto :
- Superman, le héros !
La Maîtresse :
- Va voir la directrice !
Toto :
- Elle a des gros nichons !




Histoires



1. Il était une fois une famille pauvre qui comptait trois fils : Pierre, Jacques et Jean. Un jour, Pierre, l'aîné, dit : « Je vais aller chercher du travail ; je reviendrai quand je serai riche. » Il partit sur la grand-route et marcha, marcha. Un soir, n'ayant plus qu'un croûton de pain à se mettre sous la dent, il rencontra une vieille qui lui demanda : « Voulez-vous m'indiquer le chemin pour aller à Châteauguay ? » Pierre la renseigna, puis elle dit : « Avez-vous quelque chose à donner à une vieille pauvresse ? » Pierre lui donna son croûton de pain. La vieille l'accepta et lui dit :
« Je suis une fée. Pour te remercier de ta gentillesse, voici une nappe blanche. Tu n'auras qu'à dire : "Nappe, mets la table !", et aussitôt des mets de toutes sortes s'y déposeront tout seuls.
— Oh, merci, merci ! » fit Pierre, s'empressant de reprendre la route en direction de chez ses parents. Il marcha, marcha d'un bon pas, mais la nuit arriva. Il était fatigué, alors il s'arrêta dans une auberge. Avant de dormir, comme il avait faim, il sortit sa nappe et commanda : « Nappe, mets la table ! » Aussitôt la nappe se déplia sous ses yeux et se couvrit de mets succulents et de fruits appétissants. Mais l'aubergiste avait vu le manège et, dans la nuit, il vola la nappe qu'il remplaça par une autre identique.
Le lendemain matin, Pierre quitta l'auberge et fila vers sa maison.
« Voyez, s'empressa-t-il de dire à ses parents, je rapporte une nappe merveilleuse qui se couvre de mets et de fruits délicieux. Vous allez voir ! »
Il sortit la nappe blanche de son sac et lança : « Nappe, mets la table ! » Mais la nappe resta pliée et rien n'apparut. Alors Pierre la saisit, la déplia, l'examina et constata que ce n'était pas la sienne. « Ce doit être l'aubergiste qui me l'a volée ! » s'écria-t-il, tout penaud. Alors, l'un de ses frères, Jacques, annonça tout à coup : « Moi aussi, je pars chercher du travail. Et je retrouverai bien la nappe de Pierre. »
À son tour, il marcha, marcha. Il arriva un bon matin au bord d'une rivière sans beaucoup d'eau où était assise une vieille femme toute courbée par l'âge. Le voyant approcher, elle l'interpella : « Voulez-vous m'aider à traverser la rivière ? » Jacques y consentit sans hésiter. Arrivée sur l'autre rive, la vieille lui dit : « Je suis une fée. Pour te récompenser de m'avoir secourue, je te donne cette poule. » Et elle sortit une poule de sous son manteau, ajoutant : « Dis : "Poule, ponds-moi de l'or !" et elle pondra de l'or. »
Enchanté, Jacques remercia la vieille et s'empressa de rentrer chez ses parents. Il marcha longtemps et finit par s'arrêter pour dormir à l'auberge où son frère Pierre avait fait halte. Il monta à sa chambre et dit à sa poule : « Poule, ponds-moi de l'or ! » Et la poule pondit trois œufs d'or. Pour payer sa dépense, il en donna un à l'aubergiste qui eut des doutes sur sa provenance. Durant la nuit, ce dernier alla dans la chambre où dormait son client, vit la poule et la vola. Il la remplaça par une autre en tout point semblable.
Le lendemain, Jacques arriva à la maison tout joyeux en disant : « Voyez ma jolie poule ; elle pond de l'or ! Regardez bien ! » Il posa sa poule sur la table et dit : « Poule, ponds-moi de l'or ! » Tout ce que fit la poule ce fut de branler la tête et de chanter : « Caque-caque-canette. » Jacques était bien peiné. Il s'écria : « Ah, c'est le vilain aubergiste qui m'a volé ma poule ! » Alors, Jean, le plus jeune des trois frères, dit : « C'est à mon tour de tenter ma chance. Je pars chercher fortune. »
Comme ses frères avant lui, il marcha, marcha sur le chemin. Puis, à la tombée du jour, il arriva à l'orée d'un grand bois où se tenait une vieille femme, qui lui dit : « Mon cher petit, voulez-vous m'aider à traverser ce bois ? Il fait bien noir, et j'ai peur des voleurs.
— Volontiers », dit Jean.
Il prit alors la main de la vieille et la conduisit de l'autre côté du bois. Arrivée là, la vieille se redressa et déclara : « Je suis une fée. Pour te récompenser de ta gentillesse, je te fais cadeau de ce bâton. Tu n'auras qu'à dire : "Bâton, tape !", et aussitôt il se mettra à taper sur qui tu voudras. »
Jean était enchanté. Il remercia la fée et se dirigea bien vite vers la maison où l'attendaient ses frères et ses parents. Mais la nuit tomba, et Jean était fatigué. Il s'arrêta dormir à l'auberge, la même où ses frères avaient fait halte. Après une bonne nuit de repos, il demanda à l'aubergiste :
« C'est vous qui avez volé la nappe de mon frère, la nappe qui met la table ?
— Jamais de la vie ! répliqua l'aubergiste. Je n'ai rien volé du tout !
— Vous allez me la rendre ou je vous fais cogner par mon bâton, dit Jean.
— Je n'ai rien à vous rendre, protesta le bonhomme.
— Soit ! fit Jean. Alors, bâton, tape ! »
Aussitôt le bâton s'abattit sur les épaules de l'aubergiste. Bang ! Bing ! Pan, pan ! L'aubergiste se sauva en se lamentant et en criant :
« Arrêtez ! Arrêtez votre bâton ! »
— Pas tant que vous ne m'aurez pas rendu la nappe de mon frère », répondit Jean.
Le corps meurtri, l'aubergiste sortit enfin la nappe blanche du buffet et la donna à Jean qui arrêta son bâton. Puis, le jeune homme s'en alla sur le chemin. Mais, le soir même, le voici de retour demandant asile pour la nuit. Et le lendemain matin, il dit à l'aubergiste : « Maintenant, rendez-moi la poule que vous avez volée à mon frère.
— Je n'ai pas volé de poule ! protesta l'aubergiste.
— Si vous ne me la rendez pas, je vous fais cogner par mon bâton.
— Non, non ! Je n'ai pas ta poule ! » hurla l'aubergiste en se sauvant, car il avait très peur des coups de bâton. Jean lança : « Bâton, tape ! » Le bâton courut après le bonhomme, lui sauta sur le dos et lui tapa sur les épaules. Le bâton tapa. Bing ! Bang ! Pan, pan ! Le vilain aubergiste cria et se roula par terre, mais le bâton continuait de taper. Bing ! Bang ! Pan, pan ! N'en pouvant plus de douleur, l'aubergiste alla chercher la poule et la remit à Jean, qui arrêta son bâton et reprit la route.
En chemin, il rencontra trois voleurs qui lui dirent :
« Donne ta poule et tous tes biens, sinon nous te pendrons à la plus haute branche de cet arbre.
— Laissez-moi passer, dit Jean, ou je vous fais massacrer par les coups de mon bâton.
— Ha, ha ! dirent les voleurs, riant de ses menaces. Nous allons te pendre !
— Bâton, tape ! » cria alors Jean.
Et le bâton s'abattit comme la grêle sur les épaules des voleurs. Bing ! Bang ! Pan, pan ! Les voleurs épouvantés s'enfuirent, poursuivis par le bâton déchaîné. Bing ! Bang ! Pan, Pan ! Jean rappela son bâton et se remit en route. Il arriva chez ses parents et s'exclama joyeusement : « J'ai tout rapporté : la nappe, la poule, et mon bâton qui cogne quand je le veux. Voici la nappe. « Nappe, mets la table ! » lança Pierre. Aussitôt la nappe s'étala et se couvrit de mets et de fruits appétissants. Jean sortit la poule de son sac, et Jacques dit : « Poule, ponds-moi de l'or ! » Et la poule pondit trois œufs d'or. Ce fut alors, dans la pauvre demeure, une soirée de réjouissances agrémentée d'un festin de roi.
Pierre, Jacques et Jean avaient vraiment fait fortune. Ils rendirent la vie douce à leurs parents, et tous les cinq vécurent heureux et contents jusqu'à la fin de leurs jours.


2. Benjamin se tournait et se retournait dans son lit, sans pouvoir trouver le sommeil.
À minuit passé, il avait encore les yeux grands ouverts. « Si seulement je pouvais dormir, si seulement le marchand de sable existait. »
Il avait à peine prononcé ces mots que Benjamin vit surgir devant lui un très grand homme, vêtu magnifiquement. Il portait des bottes de cuir qui lui montaient jusqu'aux cuisses, un pantalon d'un superbe velours bleu qui brillait doucement dans la nuit, une chemise d'un blanc éclatant finement brodée et un chapeau aux larges bords qui laissait flotter des rubans multicolores.
« Alors comme ça, tu ne crois pas au marchand de sable, Benjamin, et pourtant me voici. » En effet, il portait un grand sac de soie rouge avec, à l'intérieur, du sable qui ressemblait à de la poudre d'or. « Si tu veux me suivre, mets cette poignée de sable dans ta poche. »
Benjamin, très intrigué, fit ce que l'homme lui demandait et se mit tout à coup à voler dans les airs. Ils passèrent alors par la fenêtre et Benjamin fit le plus beau voyage de toute son existence.
Ils survolèrent tous les continents et Benjamin vit des choses merveilleuses : il vit les bêtes sauvages d'Afrique s'abreuver la nuit tombée au bord des grands lacs.
Il vit dans le désert un petit Bédouin écouter les histoires fantastiques que lui racontait sa mère à l'ombre de la grande tente familiale.
Parvenu jusqu'au ciel, il fit du toboggan sur l'arc-en-ciel, il joua à cache-cache derrière les planètes, il jongla avec les étoiles et fit un tour de manège sur les rayons du soleil.
Il finit par être épuisé et c'est à peine s'il se rendit compte que le marchand de sable le prenait par la main en lui disant : « Viens, je vais te ramener dans ta chambre. »
Le lendemain matin, Benjamin s'étira : « Comme j'ai bien dormi, et quel beau rêve j'ai fait. Dommage que ce ne soit pas la réalité. »
C'est alors qu'en glissant la main dans sa poche, Benjamin en retira une poignée de sable qui scintillait comme de la poudre d'or.