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Cristal, le livre/Cristal, das buch
Chapitre 1

Quand deux esprits se croisent…il y a de cela des années que les deux frères jumeaux, Henry et Félix Salvatore, se sont séparés.
Henry avait brisé la fiole de l’élixir de vie (créer jadis par le roi des êtres) condamnant son frère et lui au châtiment divin : errer pendant trois mille ans sous l’apparence d’un vampire ou loup garou.
Au fil des ans leurs corps prendraient alors l’apparence d’un esprit loup ou vampire.
Seul les quatre amulettes des quatre éléments conduisant aux quatre mondes ainsi qu’une fille au cœur pur pouvaient les sauver.
Félix S. ne pardonna jamais à son frère…

*
* *
2010. Cela fait maintenant 2009 ans que les frères Salvatore sont à la recherchent des amulettes.
Ils en possèdent déjà deux :
-le cristal (l’air)
-l’or (la terre)
Quelle va être la prochaine…
Elisabeth Miller et Taylor Wolf sortirent du collège .Comme d’habitude ,en présence d’un garçon, Elisabeth ne disait rien,se contentant de fixait de ses yeux bleus océans ses chaussures.
Taylor lui prit la main la tira dans le bus. Comme tous les jours, Elisabeth ne pu retenir ses larmes, quand pour la millième fois, Viviane, une peste, mis son sac dans le passage.
Et quand Elisabeth approcha, elle l’insulta en lui faisant des signes obsèques.
Toute cette scène était déjà connu a l’adolescente de treize ans, trop belle pour son âge et qui sortait avec le plus beau jeune homme du collège : Taylor. Elisabeth se dépêcha de rejoindre sa place oû Taylor ne pouvait plus parler tellement il bouillait de rage contre Viviane.
Arrivé à son arrêt, elle sortit précipitamment du bus .Rentré dans sa chambre, elle s’affala sur son canapé rose bonbon placé près de la fenêtre d’oû l’on voyait des champs, des près et l’immense forêt qui bordait la ville. Quelques secondes plus tard elle s’endormit.
*




Soudain, il sauta sur son frère, avec l’agilité d’un singe et la férocité d’un lion. Félix vit le coup venir de loin et s’éloigna agilement d’Henry, puis enleva le pendentif avec un cristal de son cou et le fit tournoyer au-dessus de sa tête. Rageusement, Henry réessaya son coup cette fois avec plus de succès. Félix fut renversé et lâcha le cristal, qui fit un vol sur lui-même, et retomba directement sur le pendentif fait par un morceau d’or, en forme de Terre. L’air provoquait par le lancement de la pierre « souffla » sur l’or, qui transporta le cristal sur Terre, c’est-à-dire que l’air provoquée par le cristal a ouvert la porte qui donne sur Terre et le cristal est directement tombé sur celle-ci…
*
* *

Le cristal traversa donc la « porte bleue », puis un espace de «soleil violet pour atterrir dans un champs ou plutôt un pré, tous près du sentier Saint-pierre, chemin emprunté par Elisabeth pour aller à l’arrêt du bus...

-l’or (la terre)
Quelle va être la prochaine…
Elisabeth Miller et Taylor Wolf sortirent du collège .Comme d’habitude ,en présence d’un garçon, Elisabeth ne disait rien,se contentant de fixait de ses yeux bleus océans ses chaussures.
Taylor lui prit la main la tira dans le bus. Comme tous les jours, Elisabeth ne pu retenir ses larmes, quand pour la millième fois, Viviane, une peste, mis son sac dans le passage.
Et quand Elisabeth approcha, elle l’insulta en lui faisant des signes obsèques.
Toute cette scène était déjà connu a l’adolescente de treize ans, trop belle pour son âge et qui sortait avec le plus beau jeune homme du collège : Taylor. Elisabeth se dépêcha de rejoindre sa place oû Taylor ne pouvait plus parler tellement il bouillait de rage contre Viviane.
Arrivé à son arrêt, elle sortit précipitamment du bus .Rentré dans sa chambre, elle s’affala sur son canapé rose bonbon placé près de la fenêtre d’oû l’on voyait des champs, des près et l’immense forêt qui bordait la ville. Quelques secondes plus tard elle s’endormit.
*

Chapitre 2

Après avoir ajouté un dernier cahier dans son sac et laissa sa sœur, Louison, quatre ans et demi, qui déjeuner en attendant sa nourrice qui viendrait plus tard, Elisabeth recommanda encore une fois à Louison d’être sage, ouvrit la porte d’entrée, sortit sur le seuil avec son sac à dos à la main et referma la porte.
Elle mit sa capuche sur ses beaux cheveux blonds et bouclés pour les protéger de la pluie qui formaient quelques petites flaques par ci, par là. Elle courut jusqu’à l’avant toits de la terrasse tout en s’éclaboussant le pantalon protégé par des bottes en caoutchouc parsemé de cerises de toutes les couleurs sur fond noir. Arrivé près de la terrasse, elle vérifia ci la véranda et la porte d’entrée étaient bien fermées.
Aujourd’hui elle n’aurait pas le choix : elle devrait prendre le bus. Elisabeth soupira et se mit en route pour atteindre son arrêt de bus. Etant donné le temps, il était hors de question qu’elle aille au lycée à pieds ou en vélo ! Elle descendit la côte parsemée de fleurs et d’herbe. Elle avait hâte d’arriver, étant donné que Taylor, Delfia et Caroline l’attendaient… Elisabeth marchait d’un bon pas, lorsqu’elle trébucha sur une pierre. Elle roula a terre, roula dans le chemin boueux pour finir sa course quelque mètre plus loin, dans l’herbe d’un pré de vache. Elle ferma les yeux un cours moment puis les rouvris : elle avait dévalé plus que trois quart de la côte, son jean était boueux et mouillé et sa veste déchirée et sale. Il y avait dans ses cheveux des fleurs et de l’herbe, atterri par mégarde là, lorsqu’elle roulait. Elle vit son sac un peu plus loin sur le sentier interdit, un sentier qui menait dans la forêt du deuil, une forêt noire et ténébreuse… Elle alla vite le chercher, avec difficulté, car elle ne voyait pas plus que dix mètres, la brume avait tout enveloppé, le paysage montagneux n’était déjà plus visible, la pénombre d’un matin de début novembre rendant le tout encore plus inquiétant que d’habitude. Elisabeth se leva avec peine, enleva la bout, la terre et les fleurs d’elle. C’est la qu’elle découvrit que ses vêtements étaient aussi complètement détrempés…
Baissant la tête pour bien rajuster son pantalon, elle la releva aussitôt : un losange de la taille d’un poing aussi blanc qu’un iceberg sur lequel trônait en son centre un cercle argenté.
Elle s’avança d’un pas lourd et prit la chose qui n’était qu’à quelque mètre d’elle.. Lorsqu’elle eu l’objet en main, elle s’aperçut que c’était un talisman avec une chaînette couleur métallique.
Elle caressa l’étrange métal-argenté des ses doigts fins, il était si lisse qu’elle se demanda si elle ne rêvait pas.
Ensuite Elisabeth rangea le précieux bijou. Et elle courut à l’arrêt de bus tout en priant pour que ses habits sèchent vite.
Lorsqu’elle arriva a l’arrêt de bus elle vit Caroline, Delfia et Taylor, qui avait l’air stressé. Dés qu’il la vit, Taylor du se sentir mieux, car il sourit. Elisabeth, toute heureuse, sauta dans les bras de Taylor, l’embrassa et se dirigea vers ses deux amies en leur lançant des « salut ! », « salut, salut ! » . Puis, elle prit la main de Taylor, qui dans son fort intérieur la considérait comme la huitième merveilles du monde.
« -Lise qu’a tu fais à tes vêtements ?! », s’exclamèrent Caroline et Delfia.
Et elle leur raconta sa mésaventure, laissant de côté l’amulette.
« -Ma pauvre petite puce », se lamenta Taylor « Tu ne t’es pas fait mal j’espère.
- Mais non, ne t’inquiète pas, c’est ce brouillard et cette maudite pluie !
- Eh oh ! Les amoureux ! Y a le bus qui arrive ! » cria Delfia, pour sortir les deux amoureux de leur bulle, un peu jalouse d’être mise à l’écart.
Le bus s’arrêta à leur niveau et ouvrit les portières, Caroline et Delfia se mirent à côté, Taylor, qui avait bien préparer son coup, monta, jeta un regard noir à Viviane qui, comme d’habitude avait laissé son gros sac par terre pour empêcher Elisabeth de passer, mais quand Taylor passa il mit un grand coup de pied dans le sac et l’envoya valser à travers le bus et arbora un sourire venimeux à Viviane et à sa bande de poufs. Taylor leur lança :
« Alors, les poufinettes, toujours aussi nouilles ? » Puis, il m’embrassa (plus fort que d’habitude). Viviane vira gueule de bois et grommela quelque chose du genre : « Amoureux taré du cerveaux » ou une chose du genre… Taylor laissa Elisabeth s’asseoir en première pour lui laisser le loisir d’être côté vitre. Le trajet se poursuivit sans aucun problème.

Chapitre 3

Je descendis du bus. Tout en me dirigeant vers l’établissement main dans la main de Taylor je vis Viviane qui affichait un visage plus pâle que d’habitude. Elle avait l’air complètement malade, elle marchait bizarrement et son regard était affreusement triste. Une fois à mon casier, je transférais mes affaires de l’après midi à l’intérieur de celui-ci .Je sentais sa main sur mon épaule. Me retournais, pour me retrouver face à lui .Je me issa sur la pointe des pieds pour lui déposer un baiser juste au moment de la sonnerie qui signalait la première heure de cours du matin. Je fermai mon casier et disparus dans la foule d’élève, suivi de Taylor.
*
* *

-Je vais vous présenter le nouveau de la classe : Damien Blutsauger
Le nouveau, Damien, n’avait ni l’air impressionné par le manque de couleur des murs de la classe qui était gris ternes ni par la vingtaine de paires d’yeux fixait sur lui .Il lança à la classe un « bonjour à tout le monde » d’une voix sure et pas particulièrement grave.
J’entendais déjà Viviane qui faisait à sa bande poufs :
-On pari que je vais réussir à me l’approprier !
-Oui, s’exclama sa bande.
En réponse le professeur les réprimanda sur un ton sec :
-Encore une fois et ce sont des heures de colle mesdemoiselles !
La remarque les fit brusquement tairent.
C’est vrai que ce Damien avait plutôt l’air craquant, et puis, il avait ce côté mystérieux assez sympathique. Ses yeux gris et ses cheveux noir et lisse avaient tout leurs charme. Je remarquais, à la sortie du cours qu’il n’arrêtait pas de jeter des coups d’œil à Viviane et à moi comme si il se demandait « laquelle est la plus belle ».
Lors des autres cours, Viviane laissait toujours Damien s’asseoir en premier pour qu’ensuite elle se précipite à ses côtés.
Quand la sonnerie de midi se déclencha et que je vis Damien adossé contre un mur l’air d’attendre une personne, je me disais « et si c’était moi »malheureusement je craignais plutôt qu’il attendait Viviane.
Mais quand je l’entendis criait :
-Hey ! Elisabeth ! C’est ça ?
-Heu, oui ?
Je sentis la main de Taylor glisser dans la mienne comme un signe d’avertissement adressé à Damien du genre « elle est déjà prise »
-Eh, ben, reprit-il, je me demandais si je pouvais manger avec vous ? A moins que tu ne veuille pas.
Je questionnai Taylor de mon regard. Il prit alors la parole :
-Tu ne manges pas avec Viviane ?
-Non, pourquoi ?
-T’arrête pas de traîner avec elle, enfin, c’est elle qui te colle, mais je croyais que tu la préférais à nous.
-Si je comprends bien, vous ne voulez pas de moi ?
-Non, au contraire, fis-je, viens !
Et c’est comme ça que Taylor et moi nous avons pu manger avec Damien et Delfia et Caroline qui vinrent s’ajouter après .J’aperçu Viviane. Quand elle c’est rendit compte que Damien mangeait à ma table, elle me tira la langue et me tourna le dos.
Les cours reprirent de plus belle, Taylor restait très distant par rapport à Damien .En fait les deux s’ignoraient car ils ne pouvaient pas se supporter.
Taylor prétendait que Damien me voulait mais qu’il n’en aurait pas l’occasion.
Après ma dernière heure de cours je vis les s’éloignaient dans la forêt alentour en se chahutant. Je les rattrapais. Ils me virent. Mais ils firent semblant de ne rien voir. On aurait dit des sourds –muets complètement indifférents à se qui se passait autours d’eux. Et dans leur catégorie j’ajoutais aussi aveugle. Soudain le teint pâle de Damien vira au rouge, pareil pour le teint mat de Taylor. Soudain Taylor cria quelconque injure à Damien qui s’énervait de plus en plus. Je m’approchais de Taylor et lui soufflait :
-T’énerve pas, Taylor. Et puis, que fait tu ici, avec le nouveau Damien ?
Son nom m’écorcha la langue - quand je pense que je pense que je le préfère à mon Taylor ! je prenais mon courage à deux mains et je donnais un baiser sur la joue de Taylor. Sauf que Taylor ne réagis pas exactement comme prévu :
-Mais qu’est-ce’ tu fais là toi, hein ? Et arrête c’est « t’énerve pas ! » ! J’ai des raisons de m’énerver ! Ce gars te veut ! En petite amie ! Mais jamais il ne t’aura ! Jamais, tu m’entends !
-Whaou, t’as du succès Liz !
Caroline. Elle venait de débarquer avec Delfia, se demandant ce que l’on faisait si près de la forêt.
-Mais partez, vous ! C’est juste entre lui et moins ! cria Damien.
Caroline voulut s’approcher mais Damien dévoila ses dents blanches et aiguisées. Et là Taylor se transforma en un loup d’environs cinq mètre de hauteur. Et il sauta. Au - dessus de moi, essayant d’atteindre Damien. Mais il rata sa cible.
-NOOOOOOOOOONNNNNNN !
Mais le mal était fait. Il ne l’avait pourtant pas fait exprès, mais il était trop tard. Je regardais le corps à mes pieds. Des cries et des pleurs d’une de mes amies. Et de nouveau ce corps. Un cadavre.

Chapitre 4

« Nous, c’est -à- dire : Delfia, Taylor, Damien et moi, étions réunis, en train de contempler le corps sans vie de Caroline, en plus amoché par la trace des crocs énorme qui l’avait traversé. La vue du mort me donnait envie de vomir… »
c’est ce que pensa Elisabeth -avant de s’évanouir pour de bon. Quelques instants plus tôt encore, se tenait devant eux Caroline Moon, une jeune brunette de dix-sept ans, aux cheveux bouclés et yeux bleus. La seul pensée à la jeune fille ravivait maintenant la tristesse des autres…
Damien contempla l’œuvre de Taylor avec méprise et dégoût. Puis, avec un mauvais sourire aux lèvres, il lui dit :
-Toujours aussi fier de toi, idiot ? ça te plaît hein, de faire évanouir ta chérie, tuer une fille de ton âge, faire bouillir de rage ta copine ? je te propose un truc :
Tu me laisses Elisabeth et je te laisse la vie sauve.
-Jamais ! , siffla Taylor. Il n’était vraiment pas près de lâcher sa Lili !!! Et c’est là qu’il s’élança sur Damien de toutes ses forces. Et c’est là aussi que Elisabeth se réveilla. En voyant ses deux amours en train d’essayer de se tuer, elle fonça sur eux avec un hurlement de terreur. Elle mit toute sa force dans ses jambes encore endolories, obligeant ainsi ses avant-bras à adopter une aptitude trop rapide. Arrivé au niveau des garçons, elle écarta les bras, mais retira rapidement le droit pour éviter la mâchoire gigantesque du loup, qui claqua à quelques millimètres de sa main. Elle n’eut malheureusement pas le temps de retirer son bras gauche des dents de Damien, qui mordit avec force dans le bras d’Elisabeth, qui s’écroula dans un crie de douleur. Le vampire s’écarta vivement, pouvant ainsi contempler le désastre qu’il avait provoqué, une tristesse sans fin dans les yeux.
-Bravo, vous voilà à égalité, maintenant. Alléluia. Autres choses héroïques à accomplir, aujourd’hui ? , siffla Delfia. Ni Taylor, ni Damien n’osa répondre. Taylor reprit sa forme humaine mais se retrouva tout confus, n’ayant qu’un mini short sur lui. Damien prit Liz dans ses bras et lui soigna le bras avec l’aide de Delfia, qui lui tendait une boîte de premier secours, repêcher dans son sac de cours. Une fois Elisabeth soigné, Delfia calmée, Taylor rhabillé et Damien pardonné, on porta le corps de Caroline dans le bois.

x x x
Dans le monde d’Aria, le monde de l’air et du cristal, les deux frères Salvatore contemplèrent le désastre.
-Alléluia. , lança Félix à son frère, d’un ton ironique. Henry n’esquissa même pas l’ombre d’un sourire. Il gardait les yeux rivait sur le vase en diamant incrusté d’émeraudes et de saphirs. Puis son regard vira sur les perces-neiges, joliment taillé en cœur, dans le vase. Ils étaient d’une blancheur artificielle.
-Elisabeth, souffla-t-il. C’est elle, c’est l’élu.
-Oui., renchérit Félix, après avoir jeté un regard furtif aux fleurs. Puis, il attrapa soudainement la main de son frère et, sans crier garde, il souffla sur l’or ancien. Un tourbillon vert apparut soudainement et engoba les deux frères, cassant à son passage, livres, tables chaises, et… le précieux vase, qui se brisa dans un fracas assourdissant.
«-NOOONNNnnn… » hurla Henry, avant de se cogner à un rocher bizarrement violet.
*
* *

Ils arrivèrent sur Terre. Henry, toujours évanoui, fut rejeté comme un sac. Félix contempla avec dégoût le corps musclé et toujours bronzé, malgré la transparence. Lui, avait plutôt un teint de pêche, voir laiteux, avec des yeux turquoise et des cheveux blonds. Félix se trouvait personnellement magnifique. Il méprisait son frère aux cheveux noirs. Il s’arrêta là dans sa contemplation, et s’en alla chercher le cristal. Il se souvenait l’avoir vu tomber dans un champs, mais lequel ?...

Chapitre 5

J’étais complètement perdu. Tout le monde se faisait une gueule de bois. Caroline n’était plus. Nous cherchions un endroit où abandonner le corps de Caroline. Tant pis pour ses parents. Je suis désolé pour eux. Nous trouvâmes un trou d’un mètre de profondeur, nous posâmes le corps de Caro à l’intérieur, Damien mit quelques végétaux par-dessus pour cacher. Delfia ne pu contenir ses larmes une nouvelle fois : elle ni croyait toujours pas. Je m’éloignais en compagnie de Taylor et Damien, la laissant seule dans son chagrin.
Quand je fut enfin seul avec les deux, j’embrassai une dernière fois Taylor, qui ne voulait plus me lâcher la main, une larme roula sur ma joue. Le choix était fait. Je me détachais de Taylor, qui ne comprit pas ma réaction : je le lisait dans ses yeux d’un beau noir liquide.
«-Laisse moi Taylor, j’ai choisis. »
J’allais vers Damien et le regard de Taylor devint de plus en plus triste. Il fallait que je le déteste, que je lui dise quelque chose de méchant, il me laissera ensuite. Je tournai la tête vers lui et dit :
- Tu étais tous ce qui me fallait, mais plutôt mourir maintenant que tu es devenu un loup, un monstre ! J’ai trop peur de toi maintenant, sale chien !
Et sans top me poser de question, j’embrassais Damien. Il se laissa tomber à genoux, en pleur, respirant avec peine. Je respirai un grand coups et dit :
-C’est ça, pleure, bâtard ! D’abord t’assassine les gens, puis tu fais le bisounours, histoire d’apitoyer les gens. Mais en fait, t’es qu’un idiot qui vit que pour tuer et pour les belles blondasses ! Va-t-en Bâtard ! Idiot !
J’étais allais trop loin, et je le savais. Mais autant allais jusqu’au bout. Cette fois Taylor s’écroula vraiment. Il grimaça de douleur et les larmes coulaient à flot. Je partis avec Damien, ignorant les « pitié Elisabeth » et les « excuse-moi ! »… Et ses cris et pleurs. Adieu taylor. Adieu et excuse-moi.
Soudain, je vis Delfia qui courait vers moi. Damien et moi avions déjà pas mal marché, nous étions prêts de l’arrêt de bus.
-S’il te plaît Elisabeth, laisse Taylor nous suivre, si tu dis non, ça me rendra malheureuse ! Allez, Liz !
Elle me faisait tellement pitié que j’acceptais. Elle me remercia plusieurs fois avant de courir vers Taylor qui était plus que blessé. Pour raviver un peu tout le monde je dis :
-J’ai une chose très importante à vous montrer !
Je sortit de mon sac le précieux pendentif, et fit en sorte de le montrer, pour que tout le monde voit.
-Mais avant vous dire ce que c’est, j’aimerais savoir comment vous vous êtes transformés,… c’est… impossible ! Et la magie n’existe pas !
-Je ne sais pas comment, je ne comprend pas., déclara Taylor
-Pareil, fit Damien
-Eh ben ça ne m’avance pas beaucoup.
- Par contre, je peux t’informer sur l’amulette. Elle s’appelle l’amulette de l’air et elle est faites dans un cristal des glaces de là-bas. Sa valeur et inestimable. Elle donne aussi accès à un autre monde : ARIA, le monde de l’air et de la glace. D’ailleurs, d’après ce que j’ai lu, il existe aussi trois autres pendentifs : Le lapis-lazuli, l’eau, monde d’AQUALIA, le rubis, le feu, monde de FLAMMION et l’or, la terre, c’est notre monde à nous. Par contre, je ne connais pas d’autre informations.
-J’ai une idée, s’exclama Delfia, nos pourrions aller à la librairie, acheter un livre sur ça !
Avant d’y aller, je prévenais mes parents depuis mon portable et ensuite, suivie de ma petite troupe, je me mis en route vers la librairie « BOOKY BOOK ». Une fois arrivés à la librairie et rentrée à l’intérieur, je demandais au libraire s’il avait des libres concernant des amulettes, ils nous en montra plusieurs, mais aucun me plut vraiment. Puis, mon regard tomba sur un livre dans le fantastiques : il avait l’air vieux et il était déjà un peu déchiré ; mais c’était le titre qui m’attira :
Les amulettes cachées des autres mondes

Chapitre 6

J’ouvris le livre. La première page était consacrée au cristal.

LE CRISTAL

Le cristal est la pierre la plus précieuse. Elle est faites dans un cristal très rare et qui n’existe qu’à ARIA : le cristal de glace. Pour y aller, il faut souffler sur la pierre*(voir anecdote en bas de la page). Il est couvert d’une poussière céleste, rapportée jadis par le roi des êtres, le gouverneur de tous les mondes, qui mourus malheureusement il y a mille ans. Quiconque retrouverais les quatre amulettes aurait cette place de roi… mais à votre place, je détruirais les amulettes : beaucoup de personnes les convoitent, et pas qu’un peu… Et si les amulettes vous sont volées, ce sera la personne qui deviendra roi des êtres.
La chaînette et faites de la chaînes en argent qu’on utilisé à ARIA (avant la désertion de ce monde**) pour pendre les malfaiteurs qui s’étaient excusés. Les autres étaient pendus avec une vulgaire corde.

Le livre était vraiment passionnant. Je me recommanda les anecdotes pour la fin, lorsque je vis la date de création du livre : 1800. C’était donc un livre assez vieux. Mais que faisait-il ici ? Je ne me posais pas la question plus longtemps et alla payer. Je rejoignis directement Damien, mon nouveau petit copain, qui m’attendais dehors avec les autres. Delfia me poussa à parler et il y avait aussi ce… Taylor. Je lui lançais un regard noir de chez noir, mais en me voyant fondre à la vue de son regard triste et douloureux, je détournais mon regard pour le poser sur Damien. Il arborait un sourire triomphant et heureux. Il me prit dans ses bras musclés et posa un baiser sur mon front. Je me sentais merveilleusement bien avec damien. Oui. Je suis cruel. Mais qui, qui serait assez malade pour sortir avec un loup-garou ? Qui pourrait juste aimer un loup de cinq mètres ? qui serez assez débile pour risquer sa vie à chaque baiser ou câlin ? La réponse est clair et simple : moi.
*
* *

Félix se mit en route. Il fouilla tous les recoins du pays : les champs, les forêts, les routes, les maisons, les magasins,… Il alla jusqu’aux hôpitaux et orphelinat ! Ses nerfs étaient poussés à bout, surtout quand il vit que quelqu’un le suivait. Il se retourna a plusieurs reprises, mais ne vit personne…
Qui pouvait donc le suivre ? Henry était encore sur le sentier, et tout les autres personnes ignorées même leur existence… A part peut-être ces jeunes garçons… Mais ils avaient du s’entretuer entre temps. Félix sourit, à l’idée de découvrir un cadavre de loup géant ou un tas d’humain bien saignant, assassinés par ces « monstre ». Il se pourléchait les babines, à l’idée d’un bon repas. Soudain, notre vampire sursauta. La chose était maintenant très près. Trop près même… Félix chercha mais ne vit rien que son ombre. Rassuré il avança… et stoppa net. A sa malédiction, pour être bien sûr qu’il ne trouve pas d’autre solution que celle dictée, on lui avait retiré son ombre. Portant, il avait vu son ombre clair et net. Aurait-il rêvé ? Non, Félix n’a jamais rêvé. Il se retourna lentement. Et ce qu’il vit, lui glaça le sang. Devant lui ce tenait un cadavre. Et ce cadavre bougeait.

Chapitre 7

Le cadavre vivant marchait maintenant vers Félix. Ses yeux étaient blancs, avec un reste de leur vert précédent. Ses cheveux étaient cachés sous un joli chapeau en toile violet avec des fleurs artificielles, ses lèvres étaient décolorées. Félix eut d’abord peur, puis il se rappela les paroles de son grand-père, Félio : fais de ta peur ton alliée. Il sourit de toutes ses dents, laissant apercevoir ses canines aiguisées. Il s’approcha du mort, une fiole contenant un liquide rouge à la main. Une fois assez près de l’être, il ouvrit la fiole et envoya tous le contenu sur le cadavre.

* *

Elisabeth rentra. La journée avait était longue et laborieuse. Mais heureusement, Damien était là… Elle sourit à la seul pensée, ses lèvres formèrent un je t’aime damien. Puis, elle courut dans sa chambre et s’étala de tous son long sur le canapé rose bonbon qui trônait à côté de la fenêtre d’où l’on avait vu sur la forêt du deuil, les prés, le champs et un morceau de la ville. Elisabeth ôta ses chaussures puis alluma la télé et prit son livre fraîchement acheté.
*Anecdote :
Une fois que la poussière céleste est usée, il est impossible de voyagé (voyage possible : 45963215996532325562)ou il vous arrivera la mme chose qu’à Leslie Salvatore. Il faut donc recréer une même pierre ou allez parler au…

Elisabeth s’arrêta là. Leslie Salvatore ? Qui était ce personnage ? Liz alla donc sur son ordinateur et chercha…

Leslie Salvatore

Leslie Salvatore est la sœur des frères salvatore. On ne connaît rien de sa vie, juste qu’elle mourut inexplicablement un vendredi 2 novembre, déchiré en morceaux inexplicablement, un étrange collier au coups.
Nous ne nommerons pas les détails.

Elisabeth était dégoûté. Elle se leva regarda par la fenêtre et…
« -AAAAAAAAAH ! »


* *
Le cadavre de… Maintenant l’identité du cadavre était clair. Une fille aux cheveux bruns et bouclés. Des yeux feuilles et des tâches de rousseur. Des lèvres rouges. Caroline. Et Félix était en train de la métamorphoser en machine à tuer.


* *

ce que vit Elisabeth la cloua sur place. C’était une masse translucide dont on voyait encore un léger teint brun et des cheveux noirs. Elisabeth récupéra ses chaussures à cerise. Du moins l’une. L’autre avait fait un vol plané dans l’aquarium de bubulle, le poisson rouge.
-Suuupppeeerrr !, siffla Liz. Elle sortir d’autres chaussures, prit les documents et fila chez Damien évitant ce… corps. Elle arriva, sonna et une fois dans la chambre du jeune homme elle lui montra tout. Damien failli s’évanouir
« Whaou. » Il sourit et m’embrassa. Je lui mit la main dans ses cheveux noirs. Ainsi enlacés, nous ne vîmes pas Delfia et Taylor arrivé


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