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153 reponses - 1764 vues
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modifié il y a 9 ans
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Voici les réponses de cette discussion : (page 2/4)
(Ou très peu). Désolée du double post.
J'espère qu'il y aura une suite prochainement !
J'espère qu'il y aura une suite prochainement !
Merci 
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Elles sont super vos histoires 
J'aimerai avoir autant d'imagination ^.^
J'aimerai avoir autant d'imagination ^.^
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What > Très intéressant, on voit que c'est recherché et pas écrit à la va-vite.
Bon, allez, je vous fais cadeau d'une vieillerie que j'ai tapée à l'ordinateur tout à l'heure (oui, parce que c'était écrit à la main, une antiquité, vous dis-je). Inutile de préciser que ça a quelques années, d'où la simplicité des dialogues et de l'histoire en général. Et même s'il s'agit d'un vieux truc, il est bien entendu interdit de se l'approprier. Bonne lecture !
AU PAYS DES MINUSCULES
• Chapitre I : À la découverte de Maloise
Je téléphonais à une copine quand ma mère m’appela :
- Pauline, viens voir par ici !
- Je te laisse, dis-je à ma copine, ma mère m’appelle, salut ! »
Je raccrochais puis allais voir ma mère qui criait de plus belle :
- Qu’est-ce que tu faisais ? demanda-t-elle en me voyant arriver.
- Je téléphonais à Camille pour les leçons, j’ai oublié mon agenda.
Ma mère soupira, puis dit :
- Bon, tu vas aller à la pâtisserie pour acheter une baguette.
Elle me tendit un billet de cinq euros.
- Merci, à tout à l’heure maman !
- À tout à l’heure !
J’avais mis mes bottes parce qu’il avait plu et puis, comme j’adore sauter dans les flaques d’eau… Devant la pâtisserie, il y en avait une énorme. Naturellement, je sautais dedans et je fus aspirée, longtemps, tellement longtemps que je crois que je me suis endormie. Quand je me suis réveillée, je glissais sur une espèce de long toboggan gris. J’entendais du bruit, le bruit d’une ville, exactement. Boum ! Il n’y avait plus de toboggan. J’étais arrivée dans une ville, comme je le pensais quelques instants plus tôt. Une ville comme la mienne mais à une différence près : elle était minuscule et ses habitants également. Ils ne semblaient pas étonnés de me voir là. Une dame d’un certain âge dit seulement :
- Tiens, une nouvelle.
Et rien d’autre. Un petit bonhomme s’approcha de moi :
- Comment t’appelles-tu ? Moi, je suis le jardinier Lacosse, dit-il.
- Heu, je m’appelle Pauline Dumont. Mais pourriez-vous me dire ce que vous êtes ?
- Nous sommes des Malois, des habitants de la ville de Maloise. Au début, on était comme toi et on habitait dans le monde que tu viens de quitter. Et on a fait comme toi, je pense, on a sauté dans une flaque d’eau et, pouf, aspiré ! Et on a fait des bébés qui sont devenus grands, il y en a qui n’ont jamais vu le monde des Grands.
- Le monde des Grands ? Vous l’appelez comme ça ?
- Oui.
Je réfléchis un instant, puis dis :
- Et pourquoi êtes-vous tout petits ?
- Ah ! Eh bien, au fil des jours, on rapetisse, et toi aussi tu es en train de devenir petite. Dans une semaine, tu seras comme moi, et comme tous les autres.
- Mais au bout d’un moment, vous n’êtes pas vraiment petits, plus petits que minuscules ?
- Non, au bout d’un moment, ça s’arrête, répondit le jardinier. Bon, je retourne à mon travail… Non, attends. Tant que tu ne seras pas à notre taille, tu n’auras ni faim, ni soif. Et quand tu seras comme il faut, quelqu’un t’hébergera, peut-être la mère Mareaud, elle aimerait un enfant de ton âge. On verra ça quand tu auras la taille, allez, tu peux aller te balader, sans écraser les gens, ajouta-t-il en riant.
• Chapitre II : La vie de Maud
Cela faisait une semaine que j’étais là. Ce n’était pas la mère Mareaud qui m’avait hébergée comme l’avait dit le jardinier Lacosse, mais Mme Douce qui, comme l’indique son nom, était très gentille. J’étais maintenant aussi petite que les autres, même plus petite encore, car je n’étais pas encore une adulte. Je m’étais fait une amie qui avait mon âge, Maud. Un jour, je lui avais demandé comment elle était arrivée là :
- Un méchant garçon m’avait poussée dans une flaque d’eau. Il avait dû être étonné quand j’avais disparu, m’avait-elle dit. Et toi ?
Je lui ai raconté, à mon tour, mon histoire. Ce jour-là, nous étions ensemble sur la colline. Dominante, tout en haut, et on voyait toute la ville. Je demandais à Maud :
- Tu ne regrettes pas le monde des Grands ?
Maud sursauta.
- Non, jusqu’à maintenant, je crois que personne ne l’a regretté, en fait, les gens l’oublient un peu.
- Mais, tes parents ? Tes frère et sœur, si tu en as, tes amis !
- Mes parents sont morts quand j’étais tout bébé, je n’ai pas de frère et sœur, et mes amis, ma tante qui m’a élevée était trop méchante, elle ne voulait pas que je fréquente les enfants de mon âge. Alors, tu vois…
- Oh, désolée, je te comprends, même si ce n’est pas comme moi. Tu sais comment on peut faire pour retourner dans le monde des Grands ?
- Tu, tu, oh non, ne nous quitte pas ! Je t’en supplie !
- Je reviendrai à la prochaine pluie, je te le promets.
Maud était en larmes, mais elle les sécha vite.
- Je vais te dire comment il faut faire, dit-elle en m’entraînant vers une route que je ne connaissais pas.
- Voilà, c’est là, annonça-t-elle en me montrant un toboggan, rouge, cette fois, mais semblable à l’autre.
- Je vais dire au revoir à toute la ville et puis… Je partirai.
- Je crois que… Enfin, si tu pars comme ça, tu resteras petite toute ta vie et les Grands t’écraseraient.
- Mais que faut-il faire alors ?
- Je ne sais pas. Seul le jardinier Lacosse le sait. Tu le connais ?
- Oui, c’est le premier qui m’a parlé ici.
- Allons-le voir ! s’écria Maud.
Elle était toute contente. Lorsqu’on arriva devant la maison du jardinier, on sonna. M. Lacosse vint ouvrir, il s’écria :
- Voilà mes deux amies réunies ! Bonjour Maud et Pauline ! Que voulez-vous ? Un petit café ? Non, bien sûr, vous n’en buvez pas. Vous vendez des carnets de vœux, des calendriers ?
J’éclatais de rire et Maud en fit autant.
- Nous ne vendons rien, expliquais-je, je voudrais savoir comment faire pour aller dans le monde des Grands sans rester minuscule à leurs yeux.
Le jardinier, perplexe, nous fit signe de le suivre. Il nous conduisit à son jardin et cueillit une espèce de grosse cacahuète. Il se releva, puis dit :
- Voilà, il faut manger ça, c’est une racoque, tu grandiras puis tu pourras glisser sur le toboggan rouge. Mais tu reviendras, hein ? demanda-t-il.
- Oui, bien sûr, promis-je, il faut que je dise au revoir à tout le monde.
• Chapitre III : Retour dans mon monde
Voilà, le grand moment était arrivé. J’avais dit au revoir à tout le monde : à Mme Mareaud, à Mme Douce, à M. Lacosse, à Maud et à tous les autres Malois. J’étais devant le toboggan rouge quand j’avalais la racoque. Aussitôt, je grandis et grossis. Je fis un grand signe de la main puis glissais sur le toboggan. C’était long, et je crois que, comme au premier voyage, m’endormis. Mais cette fois-là, quand je rouvris les yeux, j’étais en bas du toboggan, qui s’effaça aussitôt. Je pris le chemin de chez moi et quand ma mère m’aperçut elle me regarda bizarrement, puis dit :
- Tu n’as pas le pain ?
- Oups ! J’ai oublié !
Je sortis en courant et entendis ma mère qui disait :
- Quelle tête en l’air !
J’étais devant la boulangerie-pâtisserie. Il y avait une énorme flaque d’eau devant. Je la contournais soigneusement.
Bon, allez, je vous fais cadeau d'une vieillerie que j'ai tapée à l'ordinateur tout à l'heure (oui, parce que c'était écrit à la main, une antiquité, vous dis-je). Inutile de préciser que ça a quelques années, d'où la simplicité des dialogues et de l'histoire en général. Et même s'il s'agit d'un vieux truc, il est bien entendu interdit de se l'approprier. Bonne lecture !
AU PAYS DES MINUSCULES
• Chapitre I : À la découverte de Maloise
Je téléphonais à une copine quand ma mère m’appela :
- Pauline, viens voir par ici !
- Je te laisse, dis-je à ma copine, ma mère m’appelle, salut ! »
Je raccrochais puis allais voir ma mère qui criait de plus belle :
- Qu’est-ce que tu faisais ? demanda-t-elle en me voyant arriver.
- Je téléphonais à Camille pour les leçons, j’ai oublié mon agenda.
Ma mère soupira, puis dit :
- Bon, tu vas aller à la pâtisserie pour acheter une baguette.
Elle me tendit un billet de cinq euros.
- Merci, à tout à l’heure maman !
- À tout à l’heure !
J’avais mis mes bottes parce qu’il avait plu et puis, comme j’adore sauter dans les flaques d’eau… Devant la pâtisserie, il y en avait une énorme. Naturellement, je sautais dedans et je fus aspirée, longtemps, tellement longtemps que je crois que je me suis endormie. Quand je me suis réveillée, je glissais sur une espèce de long toboggan gris. J’entendais du bruit, le bruit d’une ville, exactement. Boum ! Il n’y avait plus de toboggan. J’étais arrivée dans une ville, comme je le pensais quelques instants plus tôt. Une ville comme la mienne mais à une différence près : elle était minuscule et ses habitants également. Ils ne semblaient pas étonnés de me voir là. Une dame d’un certain âge dit seulement :
- Tiens, une nouvelle.
Et rien d’autre. Un petit bonhomme s’approcha de moi :
- Comment t’appelles-tu ? Moi, je suis le jardinier Lacosse, dit-il.
- Heu, je m’appelle Pauline Dumont. Mais pourriez-vous me dire ce que vous êtes ?
- Nous sommes des Malois, des habitants de la ville de Maloise. Au début, on était comme toi et on habitait dans le monde que tu viens de quitter. Et on a fait comme toi, je pense, on a sauté dans une flaque d’eau et, pouf, aspiré ! Et on a fait des bébés qui sont devenus grands, il y en a qui n’ont jamais vu le monde des Grands.
- Le monde des Grands ? Vous l’appelez comme ça ?
- Oui.
Je réfléchis un instant, puis dis :
- Et pourquoi êtes-vous tout petits ?
- Ah ! Eh bien, au fil des jours, on rapetisse, et toi aussi tu es en train de devenir petite. Dans une semaine, tu seras comme moi, et comme tous les autres.
- Mais au bout d’un moment, vous n’êtes pas vraiment petits, plus petits que minuscules ?
- Non, au bout d’un moment, ça s’arrête, répondit le jardinier. Bon, je retourne à mon travail… Non, attends. Tant que tu ne seras pas à notre taille, tu n’auras ni faim, ni soif. Et quand tu seras comme il faut, quelqu’un t’hébergera, peut-être la mère Mareaud, elle aimerait un enfant de ton âge. On verra ça quand tu auras la taille, allez, tu peux aller te balader, sans écraser les gens, ajouta-t-il en riant.
• Chapitre II : La vie de Maud
Cela faisait une semaine que j’étais là. Ce n’était pas la mère Mareaud qui m’avait hébergée comme l’avait dit le jardinier Lacosse, mais Mme Douce qui, comme l’indique son nom, était très gentille. J’étais maintenant aussi petite que les autres, même plus petite encore, car je n’étais pas encore une adulte. Je m’étais fait une amie qui avait mon âge, Maud. Un jour, je lui avais demandé comment elle était arrivée là :
- Un méchant garçon m’avait poussée dans une flaque d’eau. Il avait dû être étonné quand j’avais disparu, m’avait-elle dit. Et toi ?
Je lui ai raconté, à mon tour, mon histoire. Ce jour-là, nous étions ensemble sur la colline. Dominante, tout en haut, et on voyait toute la ville. Je demandais à Maud :
- Tu ne regrettes pas le monde des Grands ?
Maud sursauta.
- Non, jusqu’à maintenant, je crois que personne ne l’a regretté, en fait, les gens l’oublient un peu.
- Mais, tes parents ? Tes frère et sœur, si tu en as, tes amis !
- Mes parents sont morts quand j’étais tout bébé, je n’ai pas de frère et sœur, et mes amis, ma tante qui m’a élevée était trop méchante, elle ne voulait pas que je fréquente les enfants de mon âge. Alors, tu vois…
- Oh, désolée, je te comprends, même si ce n’est pas comme moi. Tu sais comment on peut faire pour retourner dans le monde des Grands ?
- Tu, tu, oh non, ne nous quitte pas ! Je t’en supplie !
- Je reviendrai à la prochaine pluie, je te le promets.
Maud était en larmes, mais elle les sécha vite.
- Je vais te dire comment il faut faire, dit-elle en m’entraînant vers une route que je ne connaissais pas.
- Voilà, c’est là, annonça-t-elle en me montrant un toboggan, rouge, cette fois, mais semblable à l’autre.
- Je vais dire au revoir à toute la ville et puis… Je partirai.
- Je crois que… Enfin, si tu pars comme ça, tu resteras petite toute ta vie et les Grands t’écraseraient.
- Mais que faut-il faire alors ?
- Je ne sais pas. Seul le jardinier Lacosse le sait. Tu le connais ?
- Oui, c’est le premier qui m’a parlé ici.
- Allons-le voir ! s’écria Maud.
Elle était toute contente. Lorsqu’on arriva devant la maison du jardinier, on sonna. M. Lacosse vint ouvrir, il s’écria :
- Voilà mes deux amies réunies ! Bonjour Maud et Pauline ! Que voulez-vous ? Un petit café ? Non, bien sûr, vous n’en buvez pas. Vous vendez des carnets de vœux, des calendriers ?
J’éclatais de rire et Maud en fit autant.
- Nous ne vendons rien, expliquais-je, je voudrais savoir comment faire pour aller dans le monde des Grands sans rester minuscule à leurs yeux.
Le jardinier, perplexe, nous fit signe de le suivre. Il nous conduisit à son jardin et cueillit une espèce de grosse cacahuète. Il se releva, puis dit :
- Voilà, il faut manger ça, c’est une racoque, tu grandiras puis tu pourras glisser sur le toboggan rouge. Mais tu reviendras, hein ? demanda-t-il.
- Oui, bien sûr, promis-je, il faut que je dise au revoir à tout le monde.
• Chapitre III : Retour dans mon monde
Voilà, le grand moment était arrivé. J’avais dit au revoir à tout le monde : à Mme Mareaud, à Mme Douce, à M. Lacosse, à Maud et à tous les autres Malois. J’étais devant le toboggan rouge quand j’avalais la racoque. Aussitôt, je grandis et grossis. Je fis un grand signe de la main puis glissais sur le toboggan. C’était long, et je crois que, comme au premier voyage, m’endormis. Mais cette fois-là, quand je rouvris les yeux, j’étais en bas du toboggan, qui s’effaça aussitôt. Je pris le chemin de chez moi et quand ma mère m’aperçut elle me regarda bizarrement, puis dit :
- Tu n’as pas le pain ?
- Oups ! J’ai oublié !
Je sortis en courant et entendis ma mère qui disait :
- Quelle tête en l’air !
J’étais devant la boulangerie-pâtisserie. Il y avait une énorme flaque d’eau devant. Je la contournais soigneusement.
J'aime beaucoup, ça se lit d'une traite :)
Tu as écrit la suite ?
Heu ce résumé, oui je l'ai écrit à la va-vite, mais tu as raison j'ai mis pas mal de temps à inventer l'histoire elle-même :D Pour ma documentation j'ai lu plusieurs pages Wikipédia en entier (Samurai, Emishi, Aïnous, Kugutsu, la page d'un samurai célèbre....).
Mais là je n'ai que l'univers, après il faut inventer les persos itout itout... %)
Tu as écrit la suite ?
Heu ce résumé, oui je l'ai écrit à la va-vite, mais tu as raison j'ai mis pas mal de temps à inventer l'histoire elle-même :D Pour ma documentation j'ai lu plusieurs pages Wikipédia en entier (Samurai, Emishi, Aïnous, Kugutsu, la page d'un samurai célèbre....).
Mais là je n'ai que l'univers, après il faut inventer les persos itout itout... %)
Green, dans tes histoires, met-y plus de précisions. Alors sa te feras un jolie truc à la fin.
Non, il n'y a pas de suite à cette histoire précise, en revanche j'avais écrit une autre histoire avec la même héroïne, mais ce n'est plus au pays des minuscules ^^ Merci :)
Eh bien, s'il est écrit à la va-vite, c'est pas mal, quand même ! Cela veut dire que tu peux faire quelque chose de vraiment bien en prenant ton temps.
Lorie > Oui, je sais, j'ai écrit ça à 11 ou 12 ans, je vois bien maintenant tout ce qui ne va pas.
Eh bien, s'il est écrit à la va-vite, c'est pas mal, quand même ! Cela veut dire que tu peux faire quelque chose de vraiment bien en prenant ton temps.
Lorie > Oui, je sais, j'ai écrit ça à 11 ou 12 ans, je vois bien maintenant tout ce qui ne va pas.
Je regarde tellement d'animés que je sature dès que je lis quelque chose en japonais. xD
Du coup, j'ai décroché de ton histoire Whatt. Navrée... :'(
Sinon, pour l'histoire de Green, j'ai eu grand plaisir à la découvrir. C'est frais, c'est plutôt original, facile et à la fois très plaisant à lire.
Perso, j'ai adoré et si tu as d'autres histoires à proposer, je risquerais de devenir accroc, attention. ^^
Du coup, j'ai décroché de ton histoire Whatt. Navrée... :'(
Sinon, pour l'histoire de Green, j'ai eu grand plaisir à la découvrir. C'est frais, c'est plutôt original, facile et à la fois très plaisant à lire.
Perso, j'ai adoré et si tu as d'autres histoires à proposer, je risquerais de devenir accroc, attention. ^^
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Ben moi... J'ai inventé une histoire plutôt... longue on va dire... Qui s'appelle "Les Anneaux Macluanes". Que je publierais sans doute vers 2015. Voilà. Bonne lecture ;)
~ CHAPITRE 1 ~
Un jeune garçon appelé Tim se rend à « Expo Industrie », l’entreprise de son père . Il vas dans le bureau de son père . Celui-ci est en communication avec monsieur Malon qui veut racheter l’entreprise (à des millions) .
« - Je ne vous vendrez par « Expo Industrie » pour en faire une entreprise d’armes . Dit le père de Tim .
- Hum . Vous l’aurez voulu ! Crie monsieur Malon .
- C’est sa oui, c’est sa … Le père de Tim coupa la communication . Tim se dirige vers son père et dit : « - Qui étais-ce père ?
- C’étais cet imbécile de Malon qui veut me racheter mon entreprise pour en faire un magasin d’armes ! Mais il peut toujours courir .
- Ah, encore lui …
- Hé oui Tim . Tu sais, il y a des gens comme sa . Des gens qui ne pensent qu’à l’argent . Ah au fait fiston, tu te souviens de ton inventions que tu as crée il y a deux ans et qui faisait peur à tous le monde ?!? Dit son père .
- Oui papa, tu parles bien entendu du « laser » . MON invention génial .
- Affirmatif ! Elle marche très bien en ce moment . Tous les scientifiques de la région voisine veulent te voir . D’ailleurs on part toute suite .
- Youpi !!! Hurle Tim . Tim et son père prennent l’avion . Dans l’avion, l’enfant admire le paysage . Il voit des temples magnifiques . Quand ils arrivent, ils voient de gros engins avec des lasers rouges en train de décomposé le sol .
- Tu peux vraiment être fier de toi mon fils . Dit son papa .
- Ah sa oui . Au fait papa, Quesque tu as au doigt ? On dirait une sorte de… Bague . Demande Tim .
- Je ne sais pas vraiment dit son père . C’est une sorte d’anneaux qui maintient de l’énergie . C’est un anneaux chinois que moi et mes ouvriers avons trouvé dans un temple ancien au centre de la Terre . Je me suis renseigné et j’ai découvert que selon une légende, c’est un certain « Mandarin » qui en portant dix autrefois . L’anneau vert que tu vois là était un des dix anneaux de ce Mandarin . Mais bon, tout ceci n’est qu’une légende . Tu veux aller visiter le temple ? Dit son père .
- Oui papa, mais j’ai quand même une question à te poser .
- Je t’écoute .
- Cet anneau, pourquoi est-il vert ? D’habitude les anneaux sont jaunes non ? Demande Tim .
- Sa j’en ai aucune idée » . Dit le pôpa de Tim .
Un peu plus tard, quand ils arrivent au temple . Ils découvrent une espèce de table avec un trou au milieu . Une étrange lueur de couleur verte s’échappe de la table et fait un trou dans le plafond du temple . Le père de Tim dit : «- C’est ici que je l’ai trouvé » . La pièce était carré . Quand ils sont reparti, l’avion les attendait . Le vibraphone du père de Tim sonne . C’est monsieur Malon . Le papa dit :
« - Que voulez-vous encore Malon, dans tous les cas ne me parlez plus jamais de « Expo Entreprise » .
- Je vous le répète encore une fois . Je-veux-l-en-tre-pri-se . Grogne Mr Malon .
- Mr Malon, c’est décidé, c’est : NON ! Dit le père de Tim .
-Alors je ne peux rien faire pour vous » . Bip bip bip ! Mr Malon a raccroché . Quand tout à coup, un des réacteurs de l’avion prend feu . Tim s’est collé à la fenêtre lorsque l’autre réacteur se détache . L’avion tomba en piqué . …………………………………AAAAAAAAAAH……………………………AIDEZ MOI……………………………………….AAAAAARRRG…………………………………………………. L’avion s’écrasa .
~ CHAPITRE 2~
Six mois plus tard… Tim se réveille dans une chambre d’hôpital. Une infirmière entre et dit :
«- Bonjour toi ! Hi hi hi ! Tu t’es réveillé ! Hi hi hi !
- mmh. Qui êtes-vous ?
- Sa ! Hi hi hi ! C’est secret !
- Mais où suis-je ?
- Ben… Dans un hôpital je crois…
- Comment sa « tu crois » ! Vous êtes infirmière oui ou non !?
- A vrai dire… Oui et non mon garçon .
- C’est-à-dire ?
- Hi hi hi . C’est-à-dire que je ne suis pas infirmière mais assassin . Répond la dame .
- Assassin…Dit Tim impressionné . Vous êtes… Une tueuse en gros ?
- Mouais… On peut dire sa comme sa » . La dame branche un fil au bras de Tim . Ensuite, elle appuie sur un bouton rouge .
La suite plus tard :)
~ CHAPITRE 1 ~
Un jeune garçon appelé Tim se rend à « Expo Industrie », l’entreprise de son père . Il vas dans le bureau de son père . Celui-ci est en communication avec monsieur Malon qui veut racheter l’entreprise (à des millions) .
« - Je ne vous vendrez par « Expo Industrie » pour en faire une entreprise d’armes . Dit le père de Tim .
- Hum . Vous l’aurez voulu ! Crie monsieur Malon .
- C’est sa oui, c’est sa … Le père de Tim coupa la communication . Tim se dirige vers son père et dit : « - Qui étais-ce père ?
- C’étais cet imbécile de Malon qui veut me racheter mon entreprise pour en faire un magasin d’armes ! Mais il peut toujours courir .
- Ah, encore lui …
- Hé oui Tim . Tu sais, il y a des gens comme sa . Des gens qui ne pensent qu’à l’argent . Ah au fait fiston, tu te souviens de ton inventions que tu as crée il y a deux ans et qui faisait peur à tous le monde ?!? Dit son père .
- Oui papa, tu parles bien entendu du « laser » . MON invention génial .
- Affirmatif ! Elle marche très bien en ce moment . Tous les scientifiques de la région voisine veulent te voir . D’ailleurs on part toute suite .
- Youpi !!! Hurle Tim . Tim et son père prennent l’avion . Dans l’avion, l’enfant admire le paysage . Il voit des temples magnifiques . Quand ils arrivent, ils voient de gros engins avec des lasers rouges en train de décomposé le sol .
- Tu peux vraiment être fier de toi mon fils . Dit son papa .
- Ah sa oui . Au fait papa, Quesque tu as au doigt ? On dirait une sorte de… Bague . Demande Tim .
- Je ne sais pas vraiment dit son père . C’est une sorte d’anneaux qui maintient de l’énergie . C’est un anneaux chinois que moi et mes ouvriers avons trouvé dans un temple ancien au centre de la Terre . Je me suis renseigné et j’ai découvert que selon une légende, c’est un certain « Mandarin » qui en portant dix autrefois . L’anneau vert que tu vois là était un des dix anneaux de ce Mandarin . Mais bon, tout ceci n’est qu’une légende . Tu veux aller visiter le temple ? Dit son père .
- Oui papa, mais j’ai quand même une question à te poser .
- Je t’écoute .
- Cet anneau, pourquoi est-il vert ? D’habitude les anneaux sont jaunes non ? Demande Tim .
- Sa j’en ai aucune idée » . Dit le pôpa de Tim .
Un peu plus tard, quand ils arrivent au temple . Ils découvrent une espèce de table avec un trou au milieu . Une étrange lueur de couleur verte s’échappe de la table et fait un trou dans le plafond du temple . Le père de Tim dit : «- C’est ici que je l’ai trouvé » . La pièce était carré . Quand ils sont reparti, l’avion les attendait . Le vibraphone du père de Tim sonne . C’est monsieur Malon . Le papa dit :
« - Que voulez-vous encore Malon, dans tous les cas ne me parlez plus jamais de « Expo Entreprise » .
- Je vous le répète encore une fois . Je-veux-l-en-tre-pri-se . Grogne Mr Malon .
- Mr Malon, c’est décidé, c’est : NON ! Dit le père de Tim .
-Alors je ne peux rien faire pour vous » . Bip bip bip ! Mr Malon a raccroché . Quand tout à coup, un des réacteurs de l’avion prend feu . Tim s’est collé à la fenêtre lorsque l’autre réacteur se détache . L’avion tomba en piqué . …………………………………AAAAAAAAAAH……………………………AIDEZ MOI……………………………………….AAAAAARRRG…………………………………………………. L’avion s’écrasa .
~ CHAPITRE 2~
Six mois plus tard… Tim se réveille dans une chambre d’hôpital. Une infirmière entre et dit :
«- Bonjour toi ! Hi hi hi ! Tu t’es réveillé ! Hi hi hi !
- mmh. Qui êtes-vous ?
- Sa ! Hi hi hi ! C’est secret !
- Mais où suis-je ?
- Ben… Dans un hôpital je crois…
- Comment sa « tu crois » ! Vous êtes infirmière oui ou non !?
- A vrai dire… Oui et non mon garçon .
- C’est-à-dire ?
- Hi hi hi . C’est-à-dire que je ne suis pas infirmière mais assassin . Répond la dame .
- Assassin…Dit Tim impressionné . Vous êtes… Une tueuse en gros ?
- Mouais… On peut dire sa comme sa » . La dame branche un fil au bras de Tim . Ensuite, elle appuie sur un bouton rouge .
La suite plus tard :)
En fait le chapitre 2 n'et pas encore terminé mais bon... Et j'ai fait un site au sujet de cette histoire.
http://www.webidev.com/lesanneaux-maclouanes-lejeu/
http://www.webidev.com/lesanneaux-maclouanes-lejeu/
//Zaïk
Belles histoires! :D
Hé désolé du triple post
Sa s'appelle Enfer.
Résumé rapide mais ce n'est pas le vrai car je ne l'ai encore fait:
Sa parle d'une légende qu'un cheval est mort dans un fleuve. Son maître lui, tombe après avoir tant erré et atterrit par terre. Il se retourne et voit un cheval descendant tout droit au enfer. Il le maudit mais ne c'est pas que ce cheval est celui qui est mort. Renommé Enfer, Ginny âgée de 14ans, décide de percée cette légende au centre "Le Poulain" où sa soeur y travaille depuis 2ans et que sa soeur y rentre en première année.
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Début:
C’était un été froid, glacial, gelé. Ginny Jordan et ses parents venaient de prendre la route en direction de Londres pour allez rejoindre les deux sœurs de Jordan. Ces sœurs étaient arrivées depuis une semaine au paravent en avion avec la plus âgée Jenna Jordan –de vingt-deux ans- et sa plus petite des sœurs qu’elle avait, nommé Ashley Jordan qui ne manquait guère de ne pas avoir plus de douze ans. Depuis un certain temps, leur famille c’était installée à Paris où son père avait obtenu une bourse qui les obligeaient tous à quittaient Londres. Là-bas il y avait un centre équestre de la plus tendre enfance de Jenna. Cette dernière avait passée dix ans à faire de l’équitation, qu’elle avait décidée de prendre le poste libre. Cela faisait maintenant deux ans que Jenna donnait des cours d’équitation aux élèves âgés de dix à treize ans pas plus. Lee avait eu souvent l’occasion de se rendre aux cours de Jenna pour l’aider. Depuis, leur sœur vivait à Londres où elle travailler au centre 5 fois par semaine pour cinquante dollars la semaine et le mercredi et dimanche, elle allait travailler à « Bust et Toon » un magasin de livres, BD et mangas pour trente dollars l’heure (ce qui variait beaucoup). C’est deux sœurs, elles adoraient monter sur Argent un magnifique étalon gris pommelé âgé de deux ans et demi et ayant déjà remporté une des six coupe CNC (Coupe National pour Chevaux), pour Ginny et Ditssy un double poney alezan âgée de quatre ans, pour Ashley. À présent, ils étaient arrivés à l’avant dernier rond-point du centre équestre « Le Poulain » et une nouvelle année se préparait pour le travail de Jenna, Lee allait passée sa troisième année d’équitation tandis qu’Ashley allait y rentrée. Une heure plus tard, ils russisèrent enfin à retrouvé leur chemin. Ils quittèrent l’autoroute pour allaient reprendre la national, fonçant droit devant eux, ils grillèrent plusieurs feux rouges et arrivèrent à destination à temps. Ils tournèrent un bon quart d’heure avant de trouvés enfin une place libre. Le père descendit suivit de Ginny et de son épouse Mme Jordan. Ashley, elle sauta sur sa mère et son père qui l’attendaient à bras ouverts. Ginny s’écarta de toute cette joie pour allée en douce cherchée ces affaires.
Qu'en pensez-vous???
Résumé rapide mais ce n'est pas le vrai car je ne l'ai encore fait:
Sa parle d'une légende qu'un cheval est mort dans un fleuve. Son maître lui, tombe après avoir tant erré et atterrit par terre. Il se retourne et voit un cheval descendant tout droit au enfer. Il le maudit mais ne c'est pas que ce cheval est celui qui est mort. Renommé Enfer, Ginny âgée de 14ans, décide de percée cette légende au centre "Le Poulain" où sa soeur y travaille depuis 2ans et que sa soeur y rentre en première année.
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Début:
C’était un été froid, glacial, gelé. Ginny Jordan et ses parents venaient de prendre la route en direction de Londres pour allez rejoindre les deux sœurs de Jordan. Ces sœurs étaient arrivées depuis une semaine au paravent en avion avec la plus âgée Jenna Jordan –de vingt-deux ans- et sa plus petite des sœurs qu’elle avait, nommé Ashley Jordan qui ne manquait guère de ne pas avoir plus de douze ans. Depuis un certain temps, leur famille c’était installée à Paris où son père avait obtenu une bourse qui les obligeaient tous à quittaient Londres. Là-bas il y avait un centre équestre de la plus tendre enfance de Jenna. Cette dernière avait passée dix ans à faire de l’équitation, qu’elle avait décidée de prendre le poste libre. Cela faisait maintenant deux ans que Jenna donnait des cours d’équitation aux élèves âgés de dix à treize ans pas plus. Lee avait eu souvent l’occasion de se rendre aux cours de Jenna pour l’aider. Depuis, leur sœur vivait à Londres où elle travailler au centre 5 fois par semaine pour cinquante dollars la semaine et le mercredi et dimanche, elle allait travailler à « Bust et Toon » un magasin de livres, BD et mangas pour trente dollars l’heure (ce qui variait beaucoup). C’est deux sœurs, elles adoraient monter sur Argent un magnifique étalon gris pommelé âgé de deux ans et demi et ayant déjà remporté une des six coupe CNC (Coupe National pour Chevaux), pour Ginny et Ditssy un double poney alezan âgée de quatre ans, pour Ashley. À présent, ils étaient arrivés à l’avant dernier rond-point du centre équestre « Le Poulain » et une nouvelle année se préparait pour le travail de Jenna, Lee allait passée sa troisième année d’équitation tandis qu’Ashley allait y rentrée. Une heure plus tard, ils russisèrent enfin à retrouvé leur chemin. Ils quittèrent l’autoroute pour allaient reprendre la national, fonçant droit devant eux, ils grillèrent plusieurs feux rouges et arrivèrent à destination à temps. Ils tournèrent un bon quart d’heure avant de trouvés enfin une place libre. Le père descendit suivit de Ginny et de son épouse Mme Jordan. Ashley, elle sauta sur sa mère et son père qui l’attendaient à bras ouverts. Ginny s’écarta de toute cette joie pour allée en douce cherchée ces affaires.
Qu'en pensez-vous???
Bien ;)
Merci!
Bon, mon poème, avant que Jaax (désolée mais ça restera Jaax, les seuls whatts que je nommerais sont enfermés dans des fils électriques itout ;P), je l'avais complètement zappé, du coup je l'ai ressorti de l'autre topic pour lui faire plaisir. Ca date d'il y a tellement longtemps, je ne sais même plus comment j'y ai pensé xD
Lorie, parce que y a des trucs qui m'ont un peu... Marquée, disons, dans ton histoire :
> des yeux bleus rubis : rubis, c'est rouge. Et saphir, c'est bleu. Bleu rubis, c'est comme si tu disais rouge émeraude, tu vois =3 Ca sonne bien mais quand on fait une métaphore visuelle faut que ça colle x)
> en s'avançant sans courir ni marcher : elle glisse ? Comme les Détraqueurs ? Oo Ca fait un peu bizarre, mais bon après, moi jdis ça, jdis rien (a)
A part ça, peu de fautes, donc c'est bien, mais par contre quand tu fais des fautes c'est des trucs pas tip-top x) (Je fais référence aussi à ton topic, où il y a en partie la suite de ton histoire). Type au paravent, c'étais, c'est sa, etc.
'fin le genre de truc que je remarque tout de suite, pas comme les s qu'on oublie ou des fautes de frappe ou ce genre de truc x)
Et sinon, s'il te plait, aère tes textes, et évite les répétitions (notamment au début, l'utilisation du mot femme est trop courante, y a des synonymes aussi =° et puis quand elle devient rouge =°) x)
Voilà =°
Green > Ouiiiiii, j'aime trooop *_* C'est différent de ce que tu écris habituellement, mais l'écriture est fraîche et vivante *_* Le style est enfantin, j'aiime :D Tsais tu pourrais la faire publier ton histoire =° Genre à l'Ecole des Loisirs ou un truc comme ça xD
Par contre la répartition en chapitres est un peu bizarre xD
Jaax / Whatt > J'aiiiiiime, c'est développé et bien fait *_* Si tu l'écris bien et bien développé, ça peut faire de ces fabuleuses intrigues avec pleins, pleins, pleins de personnages, de camps différents, des routes qui se croisent, des basculements, et une intrigue compliquée, comme dans l'Anneau du Nibelung (même si en fait c'est l'Anneau des Nibelungs et que ça a été mal traduit) :D
(Et petite parenthèse, Wagner a écrit l'Anneau pendant 30 ans de sa vie, et ce, avant les années 1900. Il est même mort avant les années 1900. Donc il n'a pas connu le nazisme. Donc même si les nazis l'aimaient bien parce qu'il voyait grand itout, faut arrêter d'associer l'Anneau au nazisme =3 Voilà.)
Bref, j'adhère *_*
Zaïk > désolée mais j'adhère pas :x Trop de fautes, mauvaise utilisation des temps... Ca donne un truc pas tellement agréable à dire. Et la chronologie donne un truc bizarre, l'enfant et son père parlent de prendre l'avion, à la phrase suivante ils sont dans l'avion, tu n'as même pas été à la ligne, c'est comme si je disais :
- Tiens, je ferais bien un gâteau au chocolat, pensais-je. Et je décidai de me laisser une dernière part de gâteau pour le lendemain, car j'en avais déjà beaucoup mangé.
(Tu vois, je pense que je vais faire un gâteau au chocolat et direct j'ai terminé de le manger, mon exemple est un peu exagéré mais c'est pour que tu voie ce que je veux dire xD)
Trop de fautes et intrigue trop condensée, bref, j'adhère pas xD Puis je trouve les personnages antipathiques =3
Lorie > Je n'ai pas trop comprisle résumé, et il y a parfois des formulations que je trouve étrange... Comme pour la première histoire, il y a des fautes et ce n'est pas assez aéré tant au niveau du style que de la présentation du texte. Après, j'attends de voir ;)
Bon, maintenant que j'ai tout critiqué, je pense que je vais me mettre en quête d'un vieux texte perdu dans mes fichiers ou mes cahiers, et s'il est potable, je vous le posterais =D
C'est donc possible que je double-poste, et si c'est le cas, je m'en excuse d'avance =) Après, si quelqu'un me fait le plaisir de poster après moi pour que j'évite le double-postage, il aura ma reconnaissance éternelle =3
(Et si quelqu'un me retrouve lady-kiwi, il aura aussi ma reconnaissance éternelle =3)
Lorie, parce que y a des trucs qui m'ont un peu... Marquée, disons, dans ton histoire :
> des yeux bleus rubis : rubis, c'est rouge. Et saphir, c'est bleu. Bleu rubis, c'est comme si tu disais rouge émeraude, tu vois =3 Ca sonne bien mais quand on fait une métaphore visuelle faut que ça colle x)
> en s'avançant sans courir ni marcher : elle glisse ? Comme les Détraqueurs ? Oo Ca fait un peu bizarre, mais bon après, moi jdis ça, jdis rien (a)
A part ça, peu de fautes, donc c'est bien, mais par contre quand tu fais des fautes c'est des trucs pas tip-top x) (Je fais référence aussi à ton topic, où il y a en partie la suite de ton histoire). Type au paravent, c'étais, c'est sa, etc.
'fin le genre de truc que je remarque tout de suite, pas comme les s qu'on oublie ou des fautes de frappe ou ce genre de truc x)
Et sinon, s'il te plait, aère tes textes, et évite les répétitions (notamment au début, l'utilisation du mot femme est trop courante, y a des synonymes aussi =° et puis quand elle devient rouge =°) x)
Voilà =°
Green > Ouiiiiii, j'aime trooop *_* C'est différent de ce que tu écris habituellement, mais l'écriture est fraîche et vivante *_* Le style est enfantin, j'aiime :D Tsais tu pourrais la faire publier ton histoire =° Genre à l'Ecole des Loisirs ou un truc comme ça xD
Par contre la répartition en chapitres est un peu bizarre xD
Jaax / Whatt > J'aiiiiiime, c'est développé et bien fait *_* Si tu l'écris bien et bien développé, ça peut faire de ces fabuleuses intrigues avec pleins, pleins, pleins de personnages, de camps différents, des routes qui se croisent, des basculements, et une intrigue compliquée, comme dans l'Anneau du Nibelung (même si en fait c'est l'Anneau des Nibelungs et que ça a été mal traduit) :D
(Et petite parenthèse, Wagner a écrit l'Anneau pendant 30 ans de sa vie, et ce, avant les années 1900. Il est même mort avant les années 1900. Donc il n'a pas connu le nazisme. Donc même si les nazis l'aimaient bien parce qu'il voyait grand itout, faut arrêter d'associer l'Anneau au nazisme =3 Voilà.)
Bref, j'adhère *_*
Zaïk > désolée mais j'adhère pas :x Trop de fautes, mauvaise utilisation des temps... Ca donne un truc pas tellement agréable à dire. Et la chronologie donne un truc bizarre, l'enfant et son père parlent de prendre l'avion, à la phrase suivante ils sont dans l'avion, tu n'as même pas été à la ligne, c'est comme si je disais :
- Tiens, je ferais bien un gâteau au chocolat, pensais-je. Et je décidai de me laisser une dernière part de gâteau pour le lendemain, car j'en avais déjà beaucoup mangé.
(Tu vois, je pense que je vais faire un gâteau au chocolat et direct j'ai terminé de le manger, mon exemple est un peu exagéré mais c'est pour que tu voie ce que je veux dire xD)
Trop de fautes et intrigue trop condensée, bref, j'adhère pas xD Puis je trouve les personnages antipathiques =3
Lorie > Je n'ai pas trop comprisle résumé, et il y a parfois des formulations que je trouve étrange... Comme pour la première histoire, il y a des fautes et ce n'est pas assez aéré tant au niveau du style que de la présentation du texte. Après, j'attends de voir ;)
Bon, maintenant que j'ai tout critiqué, je pense que je vais me mettre en quête d'un vieux texte perdu dans mes fichiers ou mes cahiers, et s'il est potable, je vous le posterais =D
C'est donc possible que je double-poste, et si c'est le cas, je m'en excuse d'avance =) Après, si quelqu'un me fait le plaisir de poster après moi pour que j'évite le double-postage, il aura ma reconnaissance éternelle =3
(Et si quelqu'un me retrouve lady-kiwi, il aura aussi ma reconnaissance éternelle =3)
[Jannoupeau]
Jannoupeau --> Mon frèrema fait la même remarque ;)
Jannou, oui, c'est normal que ça fasse enfantin, puisque j'avais 11 ans quand je l'ai écrite. Je ne cherchais pas à faire des fioritures ^^
C'est sympa de faire des commentaires à tout le monde, surtout qu'ils sont développés et pertinents... J'en ferai peut-être plus tard, mais là je n'ai pas eu le temps de lire tous vos textes, désolée.
Quant à moi, je vous posterai peut-être d'autres écrits un de ces jours, si cela intéresse du monde
.
C'est sympa de faire des commentaires à tout le monde, surtout qu'ils sont développés et pertinents... J'en ferai peut-être plus tard, mais là je n'ai pas eu le temps de lire tous vos textes, désolée.
Quant à moi, je vous posterai peut-être d'autres écrits un de ces jours, si cela intéresse du monde
.
Green --> Oui moi!
Green, j'aime beaucoup ton histoire <3
Ecris une suite steuplait ^^
Ecris une suite steuplait ^^
Moi je me demande si l'a mienne à beaucoup de succé....
Enfer c'est mon histoire.
Enfer c'est mon histoire.
Lorie > Je ne l'ai pas encore lue, mais je te dirais ce que j'en pense quand je l'aurais fait. Je n'ai pas pris le temps encore.
Jenna > Merci :)
Jenna > Merci :)
Contenu supprime sur demande.
Ça y est, j'ai lu tes écrits, Lorie. Je suis assez d'accord avec les points énoncés par Jannou, je ne vais pas les répéter.
Je pense que tu as de bonnes idées mais ça pêche au niveau de l'écriture. Je te conseille d'essayer de faire des phrases simples, quitte à les améliorer par la suite. Certaines phrases le sont déjà, celles-ci ne sont pas trop longues et bien construites. Mais dès que tu tentes une construction plus compliquée, on perd le fil à cause d'une non-maîtrise de la syntaxe - pas toujours, évidemment, mais plusieurs fois quand même - ce qui est assez déroutant pour le lecteur.
Je pense que tu as de bonnes idées mais ça pêche au niveau de l'écriture. Je te conseille d'essayer de faire des phrases simples, quitte à les améliorer par la suite. Certaines phrases le sont déjà, celles-ci ne sont pas trop longues et bien construites. Mais dès que tu tentes une construction plus compliquée, on perd le fil à cause d'une non-maîtrise de la syntaxe - pas toujours, évidemment, mais plusieurs fois quand même - ce qui est assez déroutant pour le lecteur.
Désolée pour le second message, mais ce sera plus clair ainsi. Voici le début d'une histoire dont je n'ai pas écrit la suite (eh oui, j'ai des kyrielles de commencements et bien peu de récits complets...) Pour celui-ci, je n'ai même pas la moindre idée de qui pourrait suivre, contrairement à d'autres dont je connais parfaitement le déroulement, même sans l'avoir écrit. Bref. Voilà ce fameux commencement :
« Il est né il y a bien longtemps. Il a vécu de multiples guerres. De longues périodes de prospérité. Il a connu bien des gens. Des personnes riches et célèbres. Des pauvres et des paysans. Il a été admiré dans le monde entier. Puis il a été oublié. Et un jour, il a disparu. On ne sut jamais comment mais plus personne ne s'en souciait.
C'était au début du mois de mai. Un matin, tôt, dans une gare de Londres. Les gens étaient pressés. Quai 13. La foule était dense. Des hommes jetaient sans cesse un œil à leurs montres. Leurs épouses tenaient les enfants par la main. Il y avait des cris, des pleurs. Et puis un grondement. C'était le train qui arrivait. La foule avançait. Mais lorsqu'elle aperçut la locomotive, elle s'immobilisa. Les cris s'évanouirent. Le train s'arrêta. Il était majestueux. Ce n'était pas le convoi habituel. Pour toutes les personnes qui se trouvaient là, ce fut comme une apparition. Elles ne se posèrent pas de questions et montèrent dans le train, comme dans un rêve. Si quelqu'un avait pu observer la scène de l'extérieur, il aurait certainement pensé que ces gens avaient été comme envoûtés, hypnotisés. Il aurait entendu le long sifflement annonçant le départ et aurait vu le train s'ébranler.
En réalité, une personne était restée sur le quai, assise sur un banc, le long du mur. Elle dormait. C'était une petite fille avec de longues boucles brunes et une robe de couleur rouge. Elle se réveilla quand l'horloge sonna douze coups et réalisa qu'elle était seule. Ses parents n'étaient plus là. Son frère non plus. Elle se frotta les yeux, se croyant encore dans le monde des songes. »
« Il est né il y a bien longtemps. Il a vécu de multiples guerres. De longues périodes de prospérité. Il a connu bien des gens. Des personnes riches et célèbres. Des pauvres et des paysans. Il a été admiré dans le monde entier. Puis il a été oublié. Et un jour, il a disparu. On ne sut jamais comment mais plus personne ne s'en souciait.
C'était au début du mois de mai. Un matin, tôt, dans une gare de Londres. Les gens étaient pressés. Quai 13. La foule était dense. Des hommes jetaient sans cesse un œil à leurs montres. Leurs épouses tenaient les enfants par la main. Il y avait des cris, des pleurs. Et puis un grondement. C'était le train qui arrivait. La foule avançait. Mais lorsqu'elle aperçut la locomotive, elle s'immobilisa. Les cris s'évanouirent. Le train s'arrêta. Il était majestueux. Ce n'était pas le convoi habituel. Pour toutes les personnes qui se trouvaient là, ce fut comme une apparition. Elles ne se posèrent pas de questions et montèrent dans le train, comme dans un rêve. Si quelqu'un avait pu observer la scène de l'extérieur, il aurait certainement pensé que ces gens avaient été comme envoûtés, hypnotisés. Il aurait entendu le long sifflement annonçant le départ et aurait vu le train s'ébranler.
En réalité, une personne était restée sur le quai, assise sur un banc, le long du mur. Elle dormait. C'était une petite fille avec de longues boucles brunes et une robe de couleur rouge. Elle se réveilla quand l'horloge sonna douze coups et réalisa qu'elle était seule. Ses parents n'étaient plus là. Son frère non plus. Elle se frotta les yeux, se croyant encore dans le monde des songes. »
Moi j'trouve quand 'même que la meilleure histoire c'est celle de zed qui date de 2011 :sors très loin:
Non je déconne, j'aime bien les histoires de Green et whatt :) moi l'ordinateur ma fait perdre mon imaginations et mon amour pour les livres x) sa fait un peu comble que je n'aime pas les livres car ma mère est documentaliste dans un lycée technique et mon père libraire et écrivain.
Bref c'est un topic intéressant même si c'est pas trop pour moi :/
Non je déconne, j'aime bien les histoires de Green et whatt :) moi l'ordinateur ma fait perdre mon imaginations et mon amour pour les livres x) sa fait un peu comble que je n'aime pas les livres car ma mère est documentaliste dans un lycée technique et mon père libraire et écrivain.
Bref c'est un topic intéressant même si c'est pas trop pour moi :/
Contenu supprime sur demande.
C'est l'histoire du train fantôme ? °°
Green le début est magnifique!
On attend la suite :p!
Sinon, la suite d'Enfer:
- Man’, Pa’ ! J’y vais ! ces parents la saluèrent avant qu’elle ne disparaît.
Ginny était alors en train de courir. Quand elle se releva, cette dernière se retourna pour voir ce qui l’avait fait tombée. Elle se pinça plusieurs fois avant d’accepter le fait d’avoir vue un étalon noir, marqué d’une trace rouge. L’étalon était d’un noir d’ébène, les yeux rouges comme le sang –la parfaite monture de Blanche-neige-. Le cheval c’était retourné et avait repris son galop avant de sauté dans le sol… Jenna arriva en courant et prit soigneusement Ginny dans ces bras pour l’emmener dans l’entrée du centre équestre mais celle-ci refusa toute aides avant de la pousser et de lui expliquée ce qui c’était passée avec ce cheval. Jenna n’avait pas l’air si surprise que sa en entendant l’histoire de Ginny.
- Tu sais, une légende raconte que ce cheval que tu viens de voir…. Jenna ne put finir. Une gêne lui remplit l’esprit d’un certain côté. Je pense Ginny, que je ne devrai pas t’en dire plus…
- Mais oui, réplica-t-elle. J’en ai envie ! Allez, s’il te plaît. Ginny ne lâcha point l’affaire. Elle commença à tenir Jenna de tous les côtés.
- Bon mais tu diras rien à personne hein ?
- Hein hum !
- Bon en fait, je l’avais déjà vue. Elle fut aussitôt interrompit par Ginny qui cria aussitôt. Je continuerai seulement si tu arrête tes cris inutiles !
Ginny sembla approuvait d’un signe de tête.
On attend la suite :p!
Sinon, la suite d'Enfer:
- Man’, Pa’ ! J’y vais ! ces parents la saluèrent avant qu’elle ne disparaît.
Ginny était alors en train de courir. Quand elle se releva, cette dernière se retourna pour voir ce qui l’avait fait tombée. Elle se pinça plusieurs fois avant d’accepter le fait d’avoir vue un étalon noir, marqué d’une trace rouge. L’étalon était d’un noir d’ébène, les yeux rouges comme le sang –la parfaite monture de Blanche-neige-. Le cheval c’était retourné et avait repris son galop avant de sauté dans le sol… Jenna arriva en courant et prit soigneusement Ginny dans ces bras pour l’emmener dans l’entrée du centre équestre mais celle-ci refusa toute aides avant de la pousser et de lui expliquée ce qui c’était passée avec ce cheval. Jenna n’avait pas l’air si surprise que sa en entendant l’histoire de Ginny.
- Tu sais, une légende raconte que ce cheval que tu viens de voir…. Jenna ne put finir. Une gêne lui remplit l’esprit d’un certain côté. Je pense Ginny, que je ne devrai pas t’en dire plus…
- Mais oui, réplica-t-elle. J’en ai envie ! Allez, s’il te plaît. Ginny ne lâcha point l’affaire. Elle commença à tenir Jenna de tous les côtés.
- Bon mais tu diras rien à personne hein ?
- Hein hum !
- Bon en fait, je l’avais déjà vue. Elle fut aussitôt interrompit par Ginny qui cria aussitôt. Je continuerai seulement si tu arrête tes cris inutiles !
Ginny sembla approuvait d’un signe de tête.
Whatt et Lorie > Merci !
Vava > Heu, pourquoi pas, oui xD.
Je ne sais pas, je n'ai pas écrit la suite et je ne me souviens plus de ce que voulais y mettre (car je suppose que j'avais quelques idées lorsque j'ai écrit ce début, mais cela fait longtemps... d'où mon oubli).
Lorie > Il y a toujours beaucoup de fautes d'orthographe, mais la syntaxe est bien meilleure que dans le précédent message. C'est sans doute dû aux dialogues, qui sont plus simples à écrire que le reste. Sinon, "sauter dans le sol" est une tournure assez curieuse ^^
Vava > Heu, pourquoi pas, oui xD.
Je ne sais pas, je n'ai pas écrit la suite et je ne me souviens plus de ce que voulais y mettre (car je suppose que j'avais quelques idées lorsque j'ai écrit ce début, mais cela fait longtemps... d'où mon oubli).
Lorie > Il y a toujours beaucoup de fautes d'orthographe, mais la syntaxe est bien meilleure que dans le précédent message. C'est sans doute dû aux dialogues, qui sont plus simples à écrire que le reste. Sinon, "sauter dans le sol" est une tournure assez curieuse ^^
Plutôt plongeait en faite... Mais moi j'ai l'action dans la tête, difficile de trouvée les mots ^^
Oui, comme la plupart des personnes, je pense. On a bien souvent une idée très précise de ce que l'on veut raconter, mais le coucher sur le papier, c'est une autre histoire ! Il faut bien y réfléchir.
Moi je l'écrit sur l'ordi. Et en parlant d'ordi voilà la suite!
- C’est une légende… Plusieurs personne ont vue cet étalon avant toi, dont moi d’ailleurs… D’après la légende, le cheval s’appellerait Enfer. Il a les yeux rouges, la robe noire comme l’ébène. Ce cheval est à la recherche de son maître. Apparemment, son maître était le créateur de ce centre équestre. Il l’avait construit à l’honneur de son cheval Diablo dont son vrai nom El Diablotinnetin. Ce cheval serai mort dans le fleuve, elle montra un petit passage où l’on pouvait constatée clairement qu’il y avait un bruit sourd qui désignait un passage où se trouvait le ruisseau qui menait à un fleuve. Ce dernier, à chercher pendant longtemps sa monture jusqu’au jour où il le trouvât. L’étalon, allongeait dans le fleuve marqué de sang. Il pensé qu’il avait du avoir à faire à des loups qui s’était échappés d’un refuge pour animaux puisque la forêt était en danger. Lui-même était étourdi d’après ce qu’on m’avait dit. Après avoir longuement erré, il finit par trébuché sur un bois, il retourna et vit Diablo qui était en train de plongeait dans le tartare –soit di l’enfer- dont ces derniers mots étaient « Enfer un jour, Enfer toujours ! ». On a retrouvé son corps, mort ici même, elle montra du doigt l’endroit où été tombée Ginny.
- Quoi ?! Mais… mais…
- Tout le monde y tombe même les habituaient ! Bref…
Pendant un moment, tout deux se taisaient pour entendre un hennissement de chevaux.
- J’te laisse ! Je dois aider Kev’’ avec les chevaux !
Ginny lui fit un brève signe de tête avant que Jenna ne disparaisse au loin. Une femme plutôt blonde et mince, les chevaux attachés en queue de cheval tenant les rennes d’un cheval qu’elle reconnu aussitôt ; Argent, le magnifique étalon gris pommelé qu’elle montée autre fois. Par contre, la jeune femme, elle elle ne la connaissait pas. Un élève ? Un professeur ?
- Calme-toi Argent ! Une lueur d’espoir brillé dans les yeux de Ginny.
- Argent ! Elle fit un bond pour se relevée.
- Bonjour toi, tu es nouvelle ici ? Elle tendit la main à Ginny qui s’empressa de la lui serrée.
- Bonjour, dit-elle en s’essuyant de la terre qu’elle c’était ramassé pendant sa chute. Je suis Ginny Jordan, grande sœur d’Ashley et la petite de Jenna, la prof d’équitation. Je ne suis pas nouvelle, il n’y a que ma sœur Ashley et je passe ma troisième année ici si tu es nouvelle et que tu as entre dix et treize ans, tu seras avec ma sœur, poursuivit-elle avec un petit cri de joie.
- Moi je suis Monica Genzeïe. J’ai déménagée pour pouvoir aller dans ce centre équestre, j’ai treize ans.
- Moi quatorze ! dit-elle fièrement. Je peux te faire visitée le centre équestre. Tu as Argent comme monture ? Elle avait l’air de plus en plus inquiet.
- Non, la prof Jenna euh.. Ta sœur, elle m’a dit d’aller l’accrocher vers le fleuve pour que tu puisses te baladée des…
- Qui ? Moi ou toi ? maintenant, elle avait un ton de plus en plus agressif.
- Elle m’a dit : « Va l’accrochée au bois au moins, ma sœur Ginny pourras le monté. »
- Merci, j’irais le monter après que je me suis changé sinon si sa ne t’embête pas tu pourrais le laisser avec les autres au box stp ?
- Bien sûr.
- C’est une légende… Plusieurs personne ont vue cet étalon avant toi, dont moi d’ailleurs… D’après la légende, le cheval s’appellerait Enfer. Il a les yeux rouges, la robe noire comme l’ébène. Ce cheval est à la recherche de son maître. Apparemment, son maître était le créateur de ce centre équestre. Il l’avait construit à l’honneur de son cheval Diablo dont son vrai nom El Diablotinnetin. Ce cheval serai mort dans le fleuve, elle montra un petit passage où l’on pouvait constatée clairement qu’il y avait un bruit sourd qui désignait un passage où se trouvait le ruisseau qui menait à un fleuve. Ce dernier, à chercher pendant longtemps sa monture jusqu’au jour où il le trouvât. L’étalon, allongeait dans le fleuve marqué de sang. Il pensé qu’il avait du avoir à faire à des loups qui s’était échappés d’un refuge pour animaux puisque la forêt était en danger. Lui-même était étourdi d’après ce qu’on m’avait dit. Après avoir longuement erré, il finit par trébuché sur un bois, il retourna et vit Diablo qui était en train de plongeait dans le tartare –soit di l’enfer- dont ces derniers mots étaient « Enfer un jour, Enfer toujours ! ». On a retrouvé son corps, mort ici même, elle montra du doigt l’endroit où été tombée Ginny.
- Quoi ?! Mais… mais…
- Tout le monde y tombe même les habituaient ! Bref…
Pendant un moment, tout deux se taisaient pour entendre un hennissement de chevaux.
- J’te laisse ! Je dois aider Kev’’ avec les chevaux !
Ginny lui fit un brève signe de tête avant que Jenna ne disparaisse au loin. Une femme plutôt blonde et mince, les chevaux attachés en queue de cheval tenant les rennes d’un cheval qu’elle reconnu aussitôt ; Argent, le magnifique étalon gris pommelé qu’elle montée autre fois. Par contre, la jeune femme, elle elle ne la connaissait pas. Un élève ? Un professeur ?
- Calme-toi Argent ! Une lueur d’espoir brillé dans les yeux de Ginny.
- Argent ! Elle fit un bond pour se relevée.
- Bonjour toi, tu es nouvelle ici ? Elle tendit la main à Ginny qui s’empressa de la lui serrée.
- Bonjour, dit-elle en s’essuyant de la terre qu’elle c’était ramassé pendant sa chute. Je suis Ginny Jordan, grande sœur d’Ashley et la petite de Jenna, la prof d’équitation. Je ne suis pas nouvelle, il n’y a que ma sœur Ashley et je passe ma troisième année ici si tu es nouvelle et que tu as entre dix et treize ans, tu seras avec ma sœur, poursuivit-elle avec un petit cri de joie.
- Moi je suis Monica Genzeïe. J’ai déménagée pour pouvoir aller dans ce centre équestre, j’ai treize ans.
- Moi quatorze ! dit-elle fièrement. Je peux te faire visitée le centre équestre. Tu as Argent comme monture ? Elle avait l’air de plus en plus inquiet.
- Non, la prof Jenna euh.. Ta sœur, elle m’a dit d’aller l’accrocher vers le fleuve pour que tu puisses te baladée des…
- Qui ? Moi ou toi ? maintenant, elle avait un ton de plus en plus agressif.
- Elle m’a dit : « Va l’accrochée au bois au moins, ma sœur Ginny pourras le monté. »
- Merci, j’irais le monter après que je me suis changé sinon si sa ne t’embête pas tu pourrais le laisser avec les autres au box stp ?
- Bien sûr.
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